Sports féminins : histoire, curiosités et liste

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Si dans la société il y a toujours eu une disparité entre les hommes et les femmes au cours des siècles, dans le monde du sport cela a été encore plus évident et accentué.

Le sport a toujours été l’apanage d’une culture masculine et masculine et les femmes ont dû se battre pour gagner leur propre espace (comme d’ailleurs ils l’ont fait dans d’autres domaines). Le sport est lié à des concepts de force et de fatigue qui n’ont rien à voir avec les femmes, qui ont toujours été des symboles de finesse, de grâce et de vulnérabilité. Pourtant, dans la Grèce antique, il existait des jeux réservés aux femmes. La « Héraia« , En l’honneur de la déesse Héra. Dans l’Empire romain, en revanche, le sport est devenu très violent et évidemment les femmes en étaient exclues, présentant des caractéristiques exclusivement masculines, c’est-à-dire liées à la force physique.

Au Moyen Âge on verra moins que jamais une femme s’ouvrir au sport, reléguée uniquement au foyer et aux activités purement féminines. De plus, le clergé voyait avec opposition ces pratiques qualifiées de « païennes », cruelles et de mauvais goût. Il faut arriver au XIXe siècle pour voir une sorte de changement, les femmes de l’aristocratie, en effet, surtout anglaises et françaises, ont commencé à expérimenter des jeux de mouvement : le plus typique était le badminton. A l’époque pourtant, les femmes ne pouvaient toujours pas s’habiller comme elles le voulaient, pas des vêtements moulants et pratiques mais des robes très amples qui cachaient les formes. À l’époque, la pensée misogyne inspirée des idées romantiques qui imaginaient la femme comme une créature angélique et mélancolique dominait encore. Le mouvement féministe avait le pouvoir de changer cette façon de penser et le rôle que les femmes pouvaient avoir dans de nombreux domaines de la société : elles pouvaient obtenir le droit de vote et entre autres aussi la possibilité de faire officiellement du sport.

En 1908 et 1912, les femmes ont été autorisées à participer à des compétitions de tir à l’arc, de gymnastique et de natation. Cette occasion a fait beaucoup de bruit en raison des costumes plus proches des formes.

C’était une Australienne Fanny Durakla première championne de natation féminine. En Italie, même si dès 1878 les femmes sont autorisées à faire du sport et sont scolarisées dans les écoles, c’est sous le régime fasciste que la présence des femmes dans le sport devient plus pertinente. Les fascistes eux-mêmes admirent les athlètes féminines, en tant que symbole d’un État et d’un pouvoir en plein essor. Les femmes ne sont plus seulement reléguées au foyer, à la sédentarité et aux mères de famille. Ils peuvent représenter le pays et être un symbole de prestige, augmentant son image dans le monde.

Le sport féminin ces derniers temps

Arrivé à l’ère moderne, et donc avec les progrès de l’étude du sport, on a conclu que les différences entre les hommes et les femmes étaient essentiellement construites, par une pensée dominante dominée par les hommes dans la vie comme dans le sport.

Dans les années 1980, les politiques d’égalité des chances concrétisent l’engagement des femmes dans le sport. Les athlètes féminines participent à des marathons, remettant en question l’idée que l’endurance et la force physique ne sont que des caractéristiques masculines. En réalité, grâce au métabolisme et aux différentes quantités de graisse, les femmes sont plus avantagées dans les activités où une plus grande résistance physique est requise. Entre les années 1960 et les années 1980, la pratique sportive féminine connaît une croissance exponentielle, confirmant la volonté d’atteindre également l’égalité des sexes dans le sport. C’est un indicateur des progrès accomplis par le rôle des femmes aussi important que les hommes. Si l’on regarde les temps plus récents, lea championne Valentina Vezzali est devenue championne du monde en 2005, 4 mois après avoir accouchésans aucune conséquence, démontrant le tempérament et la résistance féminine même en cas de grossesse.

Capacités physiques féminines

Le corps de la femme change, il n’est plus l’objet exclusif des regards masculins d’admiration, mais devient fort et agressif, ils découvrent une physicalité qui autrefois n’aurait pas été considérée comme féminine, dépourvue des caractéristiques de légèreté et de délicatesse physique.

C’est un outil puissant, un mécanisme qui devient fonctionnel et exempt de jugements moraux. Le sport devient un instrument d’émancipation, de liberté pour les femmes, un moyen de démontrer qu’elles n’ont rien de moins qu’un homme et aussi quelque chose de plus : le niveau de force mentale chez les femmes est plus pertinent, elles sont capables de mieux gérer leurs émotions et surtout ont une meilleure résistance à la fatigue musculaire : moins de masse musculaire correspond à moins de compression vasculaire et à un moindre gaspillage d’oxygène.

La grande présence féminine dans le sport représente et démontre une grande compatibilité entre le sport et les caractéristiques physiques féminines et le nombre exponentiel d’athlètes féminines en croissance ces dernières années est un excellent indicateur du rôle fondamental que les femmes ont conquis dans tous les domaines de la société, où il peut prouver son extraordinaire tempérament moral, physique et mental. Ce qui peut bien se concilier avec des caractéristiques telles que l’élégance, la sensibilité et la grâce, bien sûr.

Les sports les plus pratiqués par les femmes

Dans certains types de sports, les femmes ont surpassé leurs adversaires du sexe opposé. Les femmes ont pu trouver dans ces activités une source d’estime de soi, de bien-être et même d’opportunités d’emploi. Parmi les sports les plus pratiqués par les femmes figurent :

  • Volley-ball
  • je nage
  • Arts martiaux
  • Escrime
  • Danse
  • Patinage
  • Athlétisme
  • Beach volley
  • Aquagym